Yvan VANDENBERGH
Samedi plus de 100.000 Bruxelloises et Bruxellois se sont hasardés sans crainte dans les ruelles et impasses des environs de la Marolle (... et du Sablon) jusqu'aux petites heures.
C'est Nuit Blanche qui guidait leurs pas et le nombre de personnes dans les rues du parcours semblait écarter tout danger.
Et s'il fallait sortir plus nombreux et plus souvent de chez nous pour se mêler dans les rues et en assurer la sécurité ?
Mieux que les caméras, ce sont les citoyens qui sécurisent la ville. Une rue déserte comporte toujours son lot de phantasmes et de frissons.
Il faut être reconnaissant à la Ville de Bruxelles de nous avoir sortis de chez nous pour une belle nuit pleine de poésie, de surprises et d'émotion.
D'avoir permis à des artistes de transformer l'ascenseur du palais de justice en aquarium, d'avoir fait résonner l'église de la Chapelle de quatre voix d'or, d'avoir fait entrer le tango au Conservatoire qui s'écroule, d'avoir fait régner l'insolite à Recyclart, d'avoir transformé le pont sous la jonction en rêve lumineux, d'avoir permis à cinq artistes de croquer en direct les mouvements d'une jeune femme habillée d'un simple Hula Hoop, d'avoir fait sourire une Madame Pipi noire et malicieuse.
Plus d'émotions en une seule nuit qu'en un long mois.
Des explorateurs nocturnes de tous âges.
Ne sommes-nous pas tous des chercheurs d'or ?
Et puis cet adolescent basané qui dit gentiment à deux dames qui se partagent des bonbons : et moi ?
Juste une question: pourquoi un seul côté du canal présent dans cette nuit ? pourtant pas d'obstacle de prix - tout gratuit, des affiches partout, la ville duale jusqu'au bout de la nuit
et l'année prochaine Nuit Blanche le long du Kanal ?
Samedi plus de 100.000 Bruxelloises et Bruxellois se sont hasardés sans crainte dans les ruelles et impasses des environs de la Marolle (... et du Sablon) jusqu'aux petites heures.
C'est Nuit Blanche qui guidait leurs pas et le nombre de personnes dans les rues du parcours semblait écarter tout danger.
Et s'il fallait sortir plus nombreux et plus souvent de chez nous pour se mêler dans les rues et en assurer la sécurité ?
Mieux que les caméras, ce sont les citoyens qui sécurisent la ville. Une rue déserte comporte toujours son lot de phantasmes et de frissons.
Il faut être reconnaissant à la Ville de Bruxelles de nous avoir sortis de chez nous pour une belle nuit pleine de poésie, de surprises et d'émotion.
D'avoir permis à des artistes de transformer l'ascenseur du palais de justice en aquarium, d'avoir fait résonner l'église de la Chapelle de quatre voix d'or, d'avoir fait entrer le tango au Conservatoire qui s'écroule, d'avoir fait régner l'insolite à Recyclart, d'avoir transformé le pont sous la jonction en rêve lumineux, d'avoir permis à cinq artistes de croquer en direct les mouvements d'une jeune femme habillée d'un simple Hula Hoop, d'avoir fait sourire une Madame Pipi noire et malicieuse.
Plus d'émotions en une seule nuit qu'en un long mois.
Des explorateurs nocturnes de tous âges.
Ne sommes-nous pas tous des chercheurs d'or ?
Et puis cet adolescent basané qui dit gentiment à deux dames qui se partagent des bonbons : et moi ?
Juste une question: pourquoi un seul côté du canal présent dans cette nuit ? pourtant pas d'obstacle de prix - tout gratuit, des affiches partout, la ville duale jusqu'au bout de la nuit
et l'année prochaine Nuit Blanche le long du Kanal ?