Beaucoup de familles bruxelloises vivent dans des conditions difficiles. Pour que leurs enfants en sortent, l’enseignement doit leur donner les meilleurs atouts. Dès le plus jeune âge, il faut éveiller leur esprit, les préparer à vivre dans une ville plurilingue et dynamique. A défaut, c’est un handicap énorme qu’on leur impose – et un potentiel énorme que notre société laisse se dégrader.
Dans ce contexte, l’impréparation des responsables de l’enseignement face au boom démographique à Bruxelles est inacceptable. Cela fait des années que les démographes, relayés par la société civile, tirent la sonnette d’alarme. Mais les « reponsables » de l’enseignement n’ont pas réagi à la hauteur de ce défi. Ils laissent en friche la future génération de Bruxellois. Sa meilleure richesse. Honte.
Malheureusement, comme le rappelle Rudy Vervoort (interviewé sur Bel RTL, le 4/10) : « L’enseignement n’est pas une compétence régionale ».
Tant que les commandes de l’enseignement et de la politique de l’enfance à Bruxelles resteront aux mains de gouvernements extérieurs (le gouvernement flamand et le gouvernement de la communauté française), on ne peut espérer de sursaut salutaire.
C’est pourquoi ProBruxsel milite pour le transfert de la compétence de l’enseignement et de la politique de l’enfance au gouvernement et au parlement de la Région bruxelloise. C’est l’indispensable première étape de la restauration d’un enseignement de qualité pour TOUS les petits bruxellois.
Dans ce contexte, l’impréparation des responsables de l’enseignement face au boom démographique à Bruxelles est inacceptable. Cela fait des années que les démographes, relayés par la société civile, tirent la sonnette d’alarme. Mais les « reponsables » de l’enseignement n’ont pas réagi à la hauteur de ce défi. Ils laissent en friche la future génération de Bruxellois. Sa meilleure richesse. Honte.
Malheureusement, comme le rappelle Rudy Vervoort (interviewé sur Bel RTL, le 4/10) : « L’enseignement n’est pas une compétence régionale ».
Tant que les commandes de l’enseignement et de la politique de l’enfance à Bruxelles resteront aux mains de gouvernements extérieurs (le gouvernement flamand et le gouvernement de la communauté française), on ne peut espérer de sursaut salutaire.
C’est pourquoi ProBruxsel milite pour le transfert de la compétence de l’enseignement et de la politique de l’enfance au gouvernement et au parlement de la Région bruxelloise. C’est l’indispensable première étape de la restauration d’un enseignement de qualité pour TOUS les petits bruxellois.